FRANCILIEN-HEUREUX

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SAINT GERMAIN LES ARPAJON (décembre 2013)

Durant la période gallo-romaine, la commune s'appelle Chastres (de castra : camp fortifié), formant une ville unique avec Arpajon et La Norville.  La proximité de l'Orge et le passage de la voie romaine favorisent l'implantation de la population et, dès le XIIe siècle, trois moulins situés sur la rivière sont occupés à « moudre bled » : la Boiselle, transformé en appartements, le moulin de Falaise et celui de Fourcon, devenu un centre avicole.

 

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Lorsque Châtres devient Arpajon, en 1720, Saint-Germain-lès-Châtres prend le nom de Saint-Germain-lès-Arpajon. La vieille ville a conservé son identité le long de la rivière, des premières maisons d’Arpajon jusqu’à l'église Saint Germain et la mairie, ancienne propriété bourgeoise dénommée « les Tilleuls ».

 

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Toute proche, L’école Louis Babin, première de ce style construite dans la région, sera inaugurée par le ministre du travail en 1932.


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Dans le quartier de La Bretonnière, du monastère de Saint Eutrope qui veilla sur le village plus de deux siècles et demi, il reste un colombier enclos dans les jardins défendus par un portail massif, et proche de la gare, un lavoir à double toiture.

 

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Sur l’autre versant de la vallée, le château de Chanteloup, manoir du domaine royal, reconstruit à la Renaissance semble pour l’heure quelques peu délaissé.



23/04/2020
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