FRANCILIEN-HEUREUX

Le bourg, au confluent des vallées de la Sygrie et de la Bièvre, étiré entre les massifs forestiers de Verrières et le plateau de Vélizy est un véritable bijou aux portes de Paris. Ce serait même un paradis si la nationale 118, parasite autoroutier, ne courrait à mi-vallon créant ainsi une verrue visuelle au bourdonnement incessant. Il ne faut surtout pas rater le domaine Ratel avec son parc entourant le manoir, un lavoir un peu en ruine à l’écart ainsi que le pressoir à meule installé sur la pelouse et l’étang de la Sygrie.

L’église Saint Martin s’ouvre sur une adorable place de village bordée de maisons rurales. L'une d'elle abrite le musée de l’outil local.

En contrebas une sente buissonnière suit le cours sinueux de la Bièvre jusqu’à l’étang des damoiseaux séparant les deux communes.

En remontant la rivière, le paysage prends des allures helvétiques avec un adret boisé abritant le château des Roches où Victor Hugo séjourna. En amont, une antique pompe à bras et un lavoir précèdent le moulin de Vauboyen.

Sur le plateau, séparé du vallon par le bois du loup pendu, contigu à l’aérodrome, la caserne de Bel Air occupe des bâtiments d’une ancienne institution religieuse. Sur l’autre versant du côté du plateau de Saclay, la plaine de Favreuse abrite une imposante ferme équestre au milieu des cultures.