MASSY (mars 2010)
Construit sur une éminence, le mont Gaudron, cerné par une succession de plans d’eaux, étang de la Blanchette, bassin du parc Brassens, bassin des Goachères et au Nord par le cours de la Bièvre, le noyau originel a conservé sa structure de village francilien.
Le bâti est caractérisé par la présence de nombreuses cours communes particulièrement intéressantes : Cour des Bannières, du cheval blanc ou encore cette courette rue Gabriel Péri.
L’artère principale croise le centre Saint Exupéry, la maison de Nicolas Appert et le clocher de Sainte Marie Madeleine, rescapé des bombardements de 1944.
La ville est coupée de toutes parts par un impressionnant maillage de voies de communication, ligne B et ligne C du RER, ligne de grande ceinture, TGV Atlantique pour le ferroviaire, échangeur entre l’A10 la nationale 20, la nationale 188. Ces obstacles artificiels morcellent non seulement la commune mais aussi la défigurent. Au Nord Ouest, le domaine de Vilgénis, outre le château, comprend d’importants espaces verts.
Jouxtant Le grand ensemble d’Antony, le quartier de Massy Opéra représente son hideux jumeau, avec ses barres sociales sans âme, son centre commercial au rabais et son opéra disgracieux, alibi culturel bien maigre. Le sud de la commune a conservé un caractère rural. Cet espace préservé, implanté en bordure de l'autoroute A10 et de la route nationale 20, est exclusivement consacré à l’agriculture maraîchère et céréalière.
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