FRANCILIEN-HEUREUX

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MONTIGNY LES CORMEILLES (novembre 2011)

Vieux village juché sur le versant Ouest des "buttes du Parisis", l'activité des fours à plâtre a fait la prospérité de son territoire. Le chemin de fer ouvert en 1847, briqueteries, tuileries et plâtrières prennent alors leur essor. Proche de la gare, la maison de retraite mutualiste fut léguée à la ville par l’industriel Alexandre Aubert, et la fresque de l’ancienne auberge du Coq Hardi orne toujours le fronton d’une maison.

 

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Le développement urbain des années 70, conjugué au développement routier de l’A15 ont scindé la ville en deux. Sur les hauteurs, se trouve le centre historique, autour du clocher de Saint Martin, avec l’ancienne auberge peinte par Corot en 1830 (aujourd'hui espace d’exposition), le manoir Plisson qui abrite l’hôtel de ville, l’ancienne mairie école devenue bibliothèque, et quelques belles villas construites à flanc de coteau au début du 20e, rue de la halte et rue du panorama.

 

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La plaine a pour sa part accueilli, lotissements, centres commerciaux et pour finir barres et tours lugubres, que l’originalité du collège Louis Aragon n’atténue pas.

 

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07/04/2020
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