FRANCILIEN-HEUREUX

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LIMOURS (novembre 2015)

En contrebas d’un plateau traversé par la Prédecelle, le bourg, rival d’Arpajon, aligne entre le ruisseau et un coteau escarpé ses hôtels particuliers, alors que les villégiatures bourgeoises ont conquis avenues et allées autour de la place Aristide Briand.

 

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Du château, construit au début du XVIe siècle à partir d'un manoir médiéval, seuls subsistent le pavillon Mansart et le colombier. Le château de la solidarité sera acheté en 1956 afin d'accueillir des survivants des camps de concentration.

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Une église, signalée dès le XIe siècle, est détruite pendant la guerre de Cent Ans et Saint Pierre sera érigé vers 1530. La ligne de chemin de fer reliant Paris à Sceaux, mise en service en 1846, sera prolongée jusqu'à Limours en 1867. La Compagnie d'Orléans diminuera progressivement le nombre de trains et arrêtera son exploitation le 1er juillet 1939. Autre tracé ferroviaire traversant le territoire, le projet inabouti de l’aérotrain entre Paris et Orléans. Une voie verte a investi les lieux et depuis le viaduc franchissant la Prédecelle, on surplombe la vallée et l’ensemble de la localité.


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La ville est aussi le siège administratif de la métropole orthodoxe roumaine d'Europe occidentale et méridionale. La communauté y dispose de l’église de la Synaxe-de-la-mère-de-Dieu-et-du-saint-prophète-Élie, construite en bois de tilleul en 2005.

 

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26/04/2020
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