FRANCILIEN-HEUREUX

Les Grésillons 

Endroit des plus agréables, ou entrepôts anonymes, usines désaffectées et friches industrielles, se partagent le territoire au long de rues lugubres butant contre la Seine ou l’incessant vrombissement de l’A86.

Le Centre 

J’ai rarement vu un cœur de ville aussi banal et triste. Surnage à peine dans cet univers minéral de barres, de tours HLMisées, l’unique hôtel particulier de la commune qui abrite le centre culturel.

Quelques rares pavillons coquets font face à la Seine qui héberge une flottille de péniches d’habitations dont une curieuse maison sur l’eau. Rue Pointet, une trentaine de logis identiques se font face des deux côtés de la rue.

Chanteraines 

Le parc départemental est un bel espace vert avec taillis, pelouses et lac d’agrément. Il s’achève sur le seul ensemble immobilier digne de ce nom, quasi les pieds dans l’eau. Le halage jusqu’au pont d’Epinay a un caractère campagnard qui fait du bien lorsque l’on sort de cette ville dépourvue du moindre intérêt. Il permet notamment de croiser les rares chantiers navals présents dans la région.