FRANCILIEN-HEUREUX

La Fourche – La Basoche 

Depuis les fameux pavillons de chasse jumeaux au croisement de la Fourche, à l’origine du nom de la commune, on décline progressivement l’habitat pavillonnaire sous toutes ses formes. Des limites de Bondy, refuge de maisonnettes modestes, jusqu’à la mairie où les maisons s’embourgeoisent. L’absence de commerces et d’un véritable centre-ville engendre cependant monotonie et tristesse.

Sur la nationale 3, Notre Dame de Lourdes est plutôt un édifice quelconque mais vu l’insignifiance du patrimoine communal...  Dans le même ordre d’idée, la bibliothèque, allée Robillard, occupe un ancien hôtel particulier, jouxtant un groupe scolaire Jules Ferry et un marché couvert réhabilité. C’est un des rares lieux un peu chaleureux de Pavillons. 

Les Coquetiers 

On passe ici au stade des villas cossues, à l’image de la demeure du 19 boulevard Pasteur, des allées discrètes venant buter contre la voie de l’élégant T4, le tram-train qui a  remplacé le train de la ligne des coquetiers désaffecté en 2003. L’ambiance est toujours aussi frigorifique.

La Poudrette

Séparée du reste de la ville par le sillon du canal de l’Ourcq, c’est essentiellement une zone industrielle et sur les rives du canal, le domaine de nouveaux lotissements. La piste cyclable assez fréquentée le week-end, et l’espace promenade longeant la voie d’eau, égayent quelque peu l’atmosphère.